Final Fantasy

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Exemple typique d'une tafiole Final Fantasy-esque.

Symbole de la japoniaiserie par excellence, pionner du marché du hentaï, l'une des premières licences annuelles de l'histoire, Final Fantasy peut se targuer d'avoir été beaucoup de choses, mais jamais un bon jeu.

A la base un RPG, la plupart du temps un quizz sur "Quel est le sexe de cette personne ?", et toujours un défilé de la collection du mauvais goût printemps-été, Final Fantasy pose ses couilles quand il s'agît de faire gerber tout le monde, fans compris, à chaque épisode. Toujours inventif sur le look des personnages, la série aura au moins le mérite d'être celle qui défendra le plus la cause LGBT.

Mais Final Fantasy a la chance de pouvoir compter sur ses fans pour acheter en masse chaque daube estampillée "Final Fantasy", quitte à devoir acheter des jeux de versus pour sans race sur PSP ou des simulateurs de mort cérébrales sur DS. Les plus tenaces sont même encore en train de jouer à un MMO sur PS2, et justifient à eux seuls le rétablissement de la peine de mort en France.

On pourra quand même diviser l'histoire de Final Fantasy en 3 arcs :

  • Du I au VI, lorsque qu'on pouvait pigeonner les mioches en leur faisant racheter chaque année le même jeu qui étaient moches, même pour l'époque. Ces jeux sont devenus cultes par la suite, malgré qu'ils soient daubés, c'étaient aussi les moins à chier de la licence.
  • Du VII au XII, lorsque la série est passé du côté Playstation, et que toute une génération de casual a pu joué a leur premier jeu vidéo et en parler comme si c'était la meilleure oeuvre de tout les temps car Tifa avait une grosse paire sur les cinématiques en CGI. C'est aussi la période ou Final Fantasy s'est mis à faire de ses personnages des tarlouzes et diverses abominations.
13 ans. Sapée comme une pute du bois de boulogne. On dit merci Square Enix.
  • Du XIII à maintenant, la période de la trahison, Jak pourra témoigner, celle où Square Enix pactise avec le diable, celle où Microsoft sort le chéquier pour avoir sur Xbox 360 le désormais légendaire bousin Final Fantasy XIII, une première pour la série. C'est également à partir de cet épisode que Final Fantasy ne s'est pas contenté de n'être qu'une série daubée dotée de personnage dessinés avec le cul, mais aussi de promouvoir la pédophilie en exhibant des prostituées de 12 ans qui paradent en short moulant. On se croirait à Paris.


Aujourd'hui encore, Final Fantasy reste une série adulée des pigeons et des sans-races. Certains pleurent la série, qui aurait perdue une âme qu'elle n'a jamais eue. D'autres sont toujours présents à acheter chaque épisode, jouer à chaque MMO et prendre plaisir sur les spin-offs daubées en se disant, un sourire un peu crispé, qu'au moins ils auront eu la démo de FFXV avec.

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