Epyon

De Wiki GDC
Révision datée du 27 novembre 2015 à 12:17 par imported>ThePaPa
Epyon tentant de faire copuler Master Chief et Cortana (oui oui vous ne revez pas il est bien entrain de jouer avec des figurines dans un bac à sable)

Pro-M, rédacteur chez JVC. Il teste 80% des gros blockbusters AAA sur le site. Son statut de Pro-M extrême lui fait perdre toute crédibilité sur GdC au point d'utiliser l'expression "Epyon/20" lors d'un topic autour de la note d'un jeu.

La plupart des GdCiens (du moins ceux non-lobotomisés par le X de Xbox) se demandent pourquoi est-il encore rédacteur JVC: ses tests étant souvent subjectif, mal écrits et contenant des paragraphes autobiographique digne des plus grandes auto-fellations (on dirait ceux qui écrivent leur propre page wiki).


"Pour beaucoup, la Formule 1, avant d'être un impressionnant sport mécanique, c'est surtout synonyme de télévision occupée par Papa le dimanche après-midi. De longues et interminables heures, qui grignotent impitoyablement le temps passé sur la console, alors que "bon sang, demain il y a école quand même, j'ai presque pas joué du week-end" !

[...]

Je vais être honnête avec vous et admettre que cette introduction, même si de nombreux joueurs devraient se retrouver dedans, me concerne tout particulièrement. Aussi curieux que cela puisse être, et alors que j'ai toujours énormément aimé la course et les voitures, je ne me suis jamais franchement passionné pour la F1. Ce qui ne fut pas loin d'être une tare, à une époque où, âge juvénile oblige, tu ne pouvais pas te permettre le luxe d'être « en dehors du groupe ». Groupe qui, pour ma part, était constitué d'amis passionnés de F1. Quel ne fut pas mon malaise lorsque deux amis me prirent à partie pour me demander « Et toi, t'es pour qui, Schumi ou Hakkinen ? ». Doublement pris en otage entre mon ignorance globale du sujet et la crainte de perte derechef deux amis, j'ai fini par choisir entre l'un d'entre eux et j'osais un courageux « Et toi ? ». « Ben, Hakkinen », me répondit-il, ce qui me permit cette subtile réponse : « Ok, on peut continuer à être copains ». Ainsi, nous repartîmes bras-dessus bras-dessous, laissant le fan de Schumacher à sa solitude et ce non sans lui avoir lancé quelques blagues mesquines. Les enfants sont formidables.

Mon indifférence à l'égard de la Formule 1, la vraie, celle qui sent bon le pneu chaud et les frites (ceux qui ont déjà approché un circuit comprendront), n'a jamais eu d'impact sur les jeux qui lui étaient dédiés, curieusement. Ici, les noms, les marques, le réel importaient peu, seul comptait le plaisir de débouler à plus de 250 km/h et de freiner à moins de 100 mètres d'un virage, de profiter des formidables performances de la monoplace pour prendre un virage qu'aucune autre auto n'aurait pu aborder sans se retrouver sur le toit une ou deux fois. C'est donc avec un certain plaisir que j'ai vu arriver sur mon planning le test de F1 2015, que j'avais vu essayer il y a quelques mois lors d'un événement organisé par Bandai Namco. Et si la démo m'avait séduit, le jeu fini et complet, lui, m'a laissé sur ma faim."


Extrait du test de F1 2015


"C'est une chose que je n'avoue pas facilement, et toujours avec beaucoup de gêne : j'aime beaucoup le tuning. Alors certes pas au point de m'y adonner dans la vie de tous les jours, et le côté beauf qu'il a tendance à dégager de par chez nous me met franchement mal à l'aise lorsqu'il s'agit d'aborder le sujet en société. Mais que voulez-vous, comme bon nombre de joueurs, j'adore la partie "personnalisation" d'un jeu vidéo. Démarrer ma première partie de Mass Effect m'a pris 3 ou 4h, toutes passées à tenter en vain de créer un Shepard convaincant, avant de me rabattre sur l'apparence par défaut. Alors forcément, lorsqu'il s'agit d'automobile, un autre péché mignon, cela prend une ampleur plus considérable encore."

Extrait du test de Need For Speed