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Le jeu consiste à traverser la ville qui prend la forme d'un vaste donjon bien labyrinthique, parsemé de pièges, de leviers, d'interrupteurs, de salles secrètes, de raccourcis, le tout parcouru par des mobs de plus en plus vicieux, dont certains capable de s'adapter aux comportements du jouer, s'enfuir, voler des objets...
Le jeu consiste à traverser la ville qui prend la forme d'un vaste donjon bien labyrinthique, parsemé de pièges, de leviers, d'interrupteurs, de salles secrètes, de raccourcis, d'échelles, le tout parcouru par des mobs de plus en plus vicieux, dont certains capable de s'adapter aux comportements du jouer, s'enfuir, voler des objets...


Le joueur intelligent (ce qui est rare de nos jours) prendra son temps pour éviter les mauvaises surprises (à l'opposé de la plupart des joueurs actuels) sauf quand il tombera sur un compte à rebours, cherchera tous les défauts du décor pour trouver des interrupteurs ou des plate-formes cachés, voire invisibles, toutes les combinaisons de leviers possibles et imaginables pour découvrir objets, faire apparaître des mobs vicieux, des trappes, déplacer des murs, ouvrir des portes...
Le joueur intelligent (ce qui est rare de nos jours) prendra son temps pour éviter les mauvaises surprises (à l'opposé de la plupart des joueurs actuels) sauf quand il tombera sur un compte à rebours, cherchera tous les défauts du décor pour trouver des interrupteurs ou des plate-formes cachés, voire invisibles, toutes les combinaisons de leviers possibles et imaginables pour découvrir objets, faire apparaître des mobs vicieux, des trappes, déplacer des murs, ouvrir des portes, montera des échelles, descendra des échelles, sautera sur des plate-formes mais ne tentera pas de sauter de trop haut...


Le jeu bénéficie d'une identité très forte que ce soit au niveau visuel ou sonore.
Le jeu bénéficie d'une identité très forte que ce soit au niveau visuel ou sonore.


Le jeu est culte, l'introduction est culte, le thème d'intro est culte.
Le jeu est culte, l'introduction est culte, le thème d'intro est culte, enfin tout est culte dans ce jeu, y compris les cris de douleur et d'agonie...
 
 
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Version du 27 novembre 2019 à 09:10

Gods est un jeu culte, destiné les "vrais" ,développé par The Bitmap Brothers et édité par Renegade.

Sorti en 1991 sur Amiga et Atari ST il sera porté sur Archimede, DOS, Mega Drive et SNES en 1992.


Synopsis.

Un guerrier (du genre bien baraqué mais pas forcément sans cervelle) de la Grèce Antique relève un défi lancé par les Dieux pour obtenir l'immortalité, traverser la ville qu'ils ont créé, déjouer les innombrables pièges qui l'attendent, résoudre des énigmes toutes plus vicieuses les unes que les autres et vaincre les ennemis , eux aussi très très très vicieux, dont quatre gros boss.


Le jeu.

Le jeu consiste à traverser la ville qui prend la forme d'un vaste donjon bien labyrinthique, parsemé de pièges, de leviers, d'interrupteurs, de salles secrètes, de raccourcis, d'échelles, le tout parcouru par des mobs de plus en plus vicieux, dont certains capable de s'adapter aux comportements du jouer, s'enfuir, voler des objets...

Le joueur intelligent (ce qui est rare de nos jours) prendra son temps pour éviter les mauvaises surprises (à l'opposé de la plupart des joueurs actuels) sauf quand il tombera sur un compte à rebours, cherchera tous les défauts du décor pour trouver des interrupteurs ou des plate-formes cachés, voire invisibles, toutes les combinaisons de leviers possibles et imaginables pour découvrir objets, faire apparaître des mobs vicieux, des trappes, déplacer des murs, ouvrir des portes, montera des échelles, descendra des échelles, sautera sur des plate-formes mais ne tentera pas de sauter de trop haut...

Le jeu bénéficie d'une identité très forte que ce soit au niveau visuel ou sonore.

Le jeu est culte, l'introduction est culte, le thème d'intro est culte, enfin tout est culte dans ce jeu, y compris les cris de douleur et d'agonie...